Sur terre, les choses ne changent pas, disons que leur lois qui les gouvernent ne changent pas.
Il est marrant de trouver une loi qui a épargné une chose qui, ainsi, ne change pas.
il est encore plus étrange de trouver une chose qui change une loi en une loi qui ne change plus.
Enfin, trouver sur cette terre des endroits où rien ne se gouverne, ni se modifie, sous l’œil absent de l’homme est un sentiment le plus étrange, le plus singulier car ici-bas, il y a des endroits apparemment où il est inutil de chercher pour trouver d’étranges changements ou lois mystérieuses et puissantes occultées jusqu’ici.
Et pourtant, c’est ce que l’on fait et, pire persévérait à trouver l’inutile science pour cacher nos trésors publics…
Nous le savions, nous refaisons le monde, voir même la tête de la terre, sans se rappeler que nous sommes des choses et que nos lois n’appartiennent que à nous.
Celui qui trouve la où il n’y a rien à chercher en apparence appartient au lieu-dit et n’a pas de lois gouvernantes.
Il est donc libre dans un endroit inutile et se cherchera une raison d’être : la loi des choses.
Préceptes issues de méthodes de René Descartes
Deux éléments observés comme identiques sont donc séparés qui séparation supposent un élément partageant par le seul fait observer qu’il appartient à une nature différente des deux autres éléments, bornes d’un segment de la nature. La nature dans sa structure serait donc finie, limitée, et non plongé dans une observation vertigineuse ; angoisse hélicoïdale – pour lui décerner un critère d’immensité, tels que son infinité nous apparaissant comme quasi totale, hors bien entendu, plongé dans cette angoisse métaphysique, la question naturelle survient pour calmer ce vertige, pour remettre notre place sensée et sensiblement vraie sur la planète où seul l’œil crée sa photographie de la planète à l’aide de cette frontière, cette borne imaginée : l’horizon.
Or, donc, le monde ne peut-il être fini sans que rien ne soit autour de lui, le monde serait-il infini et angoissant ou fini et observable et interrogeable ? Grâce à notre observation visuelle formant au loin l’horizon pour nous situer…
(suite)
La terre est bleue en général,
mais nous vivons que sur les terres émergées
sous le dôme atmosphérique,
et la ensemble, nous croissons.
Jusqu’à croire pour s’occuper, à un monde meilleur.
Et cela nous donne un privilège par rapport à la terre elle-même
et aux autres formes de vie qui sont moins intelligentes.
Voilà encore un autre privilège contre une plante ou un dauphin.
Que de différences par rapport à la nature. Nous sommes
bien trop différents, tellement subtile plein de compassion pour la sauver.
La sauver de quoi ? D’un de ses occupants !
Mais notre privilège principal, c’est la capacité d’être complètement « schizophrène » et même d’oublier chaque crise de cette maladie.
De manière inconscient, on se demande tous comment on peut polluer encore plus vite car nous avons toujours des besoins, encore pour ne pas perdre nos privilèges. Et comme le prêche du prêtre et les quelques centimes qui vous agaçaient tombe dans la main l’autre assisté (encore un privilégié) qui est par terre, la bonne conscience d’avoir des pensées écologiques satisfaits notre petit mental de privilégie.
Se débarrasser de nos privilèges, non pas matériels, mais intellectuels et mentaux est la seule alternative pour se faire réintégrer dans le cercle des autres (espèces) sur cette petite planète encore un peu bleue, en pouvant rester accroché sur nos terres émergées.
Suite
Notre monde est bien fini, l’univers en expansion mais même si grande soit-elle sont aux limites bornées. Mais grâce à nos sens, principalement l’œil et ses capacités premières d’objectifs, seulement. Grâce à eux, le monde en plus de pouvoir se concevoir, délivrer ses secrets. Évidemment il est facile de comprendre que cet œil ne renvoie peut-être pas la réalité vraie mais la réalité effective des choses géométriques–ment. Ceux qui n’étant pas suffisamment(???), Le monde est-il infini et nos angoisses, le reflet de notre dé_placement dans l’univers et de notre manque de sensations, de l’handicap de n’avoir que cinq ou six sens. Si je reprends des deux idées identiques, elles sont absurdes d’ignorer qu’elles sont séparées par une autre inconnue. L’idée d’infini ou de fini ne se déjoue de nous par une séparation d’une idée, qui doit être comme celle-ci dessus plutôt grande, étant donc une notion, un concept, mais est une inconnue à jamais. L’univers, Le monde peut-il être connu ou inconnu ?
Elle m’aime. Je l’aime. Elles ne m’aiment pas. Je ne les aime pas. Elle ne m’aime pas. Je ne l’aime pas. Si la terre avait des sentiments, elle ne serait pas ; elles ne seraient pas. Nous ne serions pas.
Nous, les autres et les idéaux
Sur cette terre si lente et si précieuse, si apte à créer,
à développer toute chose qu’elle avait assemblée avec parfois de la malice proche des petites perversions humaines. Il faut dire que nous sommes une de ses créations hasardeuses ou non.
Et sur cette planète, sur une portion, au-dessus de la terre géologique, sur du bitume façonné ici et là pour cacher notre saleté par une hypocrite propreté, en avançant vers mon vice destructeur psychiquement, autant mais moins, physiquement, j’ouvris une porte qui allait faire accomplir l’histoire de tout les histoires connues et provoquées par cette terre si malicieuse.
Dans des volutes absurdes de tabac et d’éthanol, là où les hommes et les femmes cherchent un oubli et une explication à leur cadence de vie, une simple question va faire changer le cours non naturel de ma vie : ouvrant une voie que je redoutais depuis tant de temps.
À la recherche du passé de la flèche du temps, mon propre mien était devenu si futile, volontairement pour ne pas perturber le cours de mon esprit à peine stable chimiquement, abreuvés des risques des conséquences éthyliques.
Par la suite, dans l’euphorie, j’ai accentué la destruction par sacrifice, ou une libération : un influx de sérotonine et de dopamine suffisant pour l’autarcie mentale. Devenu une expérience dangereuse qui sert à quelque chose d’évident, décidé dans les entrailles de la terre : l’amour de Sandrine.
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