Filles
C’est bizarre, inconnu, étrange, un secret pour moi la cachette des filles.
Elles sont constantes.
Oui, s’il y a bien quelque chose d’inconstant, c’est bien les filles, mais aussi les femmes. Toutes les femmes.
Une seule minute leur suffit pour changer d’avis, de sensations, d’émotions et quand elle reste sur le même avis + de deux minutes, il faut être aux aguets et se faire voir rapidement, sinon elle change de vision.
Et quand elles sont demandeuses, connaissant leur inconstance, cette gênante inconstance, une simple inattention et peuvent rompre un rythme, cyclique, de changements.
Elles se vexent , blessé dans l’amour-propre de ce rythme incessant dans lequel elles vivent et ne veulent pas mourir.
La survie de l’espèce en dépend.
Elles souffrent de l’inconstance mais la vie est dure, manquerait + qu’elles soient molles.
Une blessure de vexation demande
Le début commence par l’humour, et le rire bon enfant. La personnalité se reconstruit mais…
mon rejet des autres qui s’ouvrent à moi et une vieille méfiance de leur intention. Cette méfiance parfois se transforme parano, mais je continue tout de même à discuter si leur discours n’est pas agressif et surtout s’il reste cérébral–artistique, politique, philosophique et bien sûr scientifique–s’il est un débat.
Et grâce à cela, je peux cacher mes émotions, mon neuf sections car je ne dis que je le dois… la méfiance est toujours la… évidemment, le débat clos, aucune sympathie profonde, ni de vrai antipathie seule le respect, parfois de l’admiration.
Mon regard étant dénué de toute forme d’envie sexuelle, de désir de charmer, je peux autant attirer les femmes que les hommes et discuter… malgré tout, je sens que cela donne charmer filles, mais j’ai pu me faire percevoir comme quelqu’un de bizarre car à la limite où elles pourraient s’offrir, en tout cas être séduite je ne transforme pas l’essai, je reste planté sur mes positions de débatteur… et ça, ça me rend bizarre qualificatif non péjoratif, voire forçant l’intérêt) aux yeux des filles comme des mecs. Les derniers ce disant : « mais pourquoi n’enclenche-t-il rien surtout chez les Don Juan habituel et les premiers premières sont vexées (un de mes a priori) ; leur séduction mise à bas, leur beauté sans doute. Elles ne se sentent pas l’élu.
Le pire bien entendu, celle que choisit, je fais un pas vers elle pour l’obliger à ne plus me saluer, à m’ignorer. Ce qui je sens, comme c’est souvent le cas, à l’effet inverse.… Mais bon, ma douleur est une raison trop grave et le meilleur moment n’est pas encore choisi, il me reste quelque renaissance et quelques expériences positifs pour retrouver à peu près solide.
De plus, je me donne les moyens de semaine en semaine pour quitter Lorient dans de bonnes conditions. Certes seul.… Mais avec assurance, sûreté et sérénité… avec des armes suffisantes… pour que le solitaire que je suis finalement continue sa route.
Et pour oublier une ville et sa région, qui dans le passé comme aujourd’hui m’ont apporté un mal-être insoutenable. Et je dirais même, le Morbihan dans l’ensemble, j’ai l’impression finalement d’accuser ma mère de quelques erreurs d’éducation malgré mon amour pour elle. J’ai le sentiment de vouloir la convaincre de ses erreurs, j’ai la culpabilité de n’avoir pas eu pu petit la convaincre. Certes mes problèmes d’absence paternelle, voir mon sentiment suite
Leave a Reply
Your email address will not be published. Required fields are marked *