Il y avait de la colère sans honte

alors penser de tout sans soi, sans toi est . Avec des tabous sans foi, ni loi

avec avoir quelques dissonances avec nos hontes,

c’est vivre avec toi ?! ? Et

mais ivre avec l’amour…

je t’aime

Problèmes du couple à régler

À l’image de sa mère

(qui est à l’origine de son trouble psy )

de manière permanente

pas envie de lui infliger ça

cessation rapide séparation

cessation longue changement de comportement

Lui coûte financièrement

depuis longtemps

retrouver RSA job formation

qu’il retrouve autonomie

Il ne sait pas s’il m’a déjà aimé

(besoin d’être avec quelqu’un, chat, bière)

moi =pareil

depuis le départ 9 ans

enlever le doute, assumer

confirmer

arrêter de lui demander d’aimer

Mon Attitude trop orgueilleuse

( engendre ma méchanceté)

depuis le début s’affirme de plus en plus

cesser de le traumatiser

séparation rapide

perso voir psychiatre

Moi =fatigue générale plus physique

( stress, perte de joie, dépression, mauvaise humeur, mal de dos)

s’affirme de plus en plus plus

perso voir Marc, psychiatre, faire du yoga, rencontrer d’autres gens…

Plus aucune relation sexuelle, environ six mois

ni affective depuis longtemps

(seulement pour lui, main, cheveux)

ne lui demande plus quotidiennement de bisous, câlins…(perso acquis depuis environ cinq ans derniers)

Ne suis pas à son goût

(tant physique, qu’intellectuel)

depuis le départ

(ressemble à rien, comprends rien

un peu mignonne lorsque j’étais jeune

respecter son dégoût de me toucher, m’embrasser de me parler

Tu es tolérante envers moi même si parfois tu en as marres

moi, le négatif, le pessimiste, le feignant, le dépressif, hypersensible, antipathique, l’original, le perdu, le dépersonnaliser, handicapé, l’alcoolique (àh non tiens plus maintenant)

hypocondriaque vraiment malade, exclu, le crime et châtiment, intelligent qui ne fascine pas, incompris, informaticien sans boulot alors qu’il y en a plein, peut-être parce qu’il est largué ou qui ne comprend pas vite ce métier, joueur d’échecs qui progresse pas, le sans amis, le joueur de Warcraft wow.

Ce,,,

Une vérité qui dérange vraiment

Si je ronge ton amour pour moi à cause de mes souffrances, mes tensions, mes peurs, mes angoisses ; ma peur de réussir et les des autres, tu es la dernière que je peux aimer. Je me demande même si je suis fait pour l’amour mais mon cœur refuse d’abandonner peut-être cette fatalité car je sais que c’est du à une telle mauvaise confiance en qui va jusqu’à se détester soi-même. Alors je me condamne.

Pour revenir à toi, tu es à la dernière car dans ma condamnation, ma culpabilité et surtout mon alcoolisme de punition, je n’attends plus rien de la vie, ni de la mort. Je suis dans un nihilisme solidaire. Et mon esprit embrouillé, mon cerveau imbibé est peut-être en train de devenir fou car ton arrivée m’a amené du bonheur ; ce quelque chose que j’avais bannie de ma logique. Mon cœur se bat contre mes sales neurones. C’est pour cela que tu es la dernière mais pour tout cela ci-dessus, je frustre de ne rien offrir de beaux, d’exemplaires, d’aimant. Mon champ électromagnétique s’éteind petit à petit, et alors on ne m’offre plus rien. À part toi, tes espoirs, tes tartines de beurre demi sel, tes taquineries acariâtres, tes volontés sèches, des soupirs malheureux et actifs, les logiques si particulières, toi, tu me les offres et cela bouscule la mauvaise logique et mes certitudes sur l’isolement.

Mon amour pour toi est plus fort que moi !

Sandrine et Fred

ou

l’entropie

fortement probable et désordonné

fortement improbable et ordonné

J’ai un amour inconditionnel pour toi.

Non pas que je sais que tu es celle qui la dernière de ma petite histoire… ni même en soi l’amour pêle-mêle avec la haine.

Mais surtout tu as m’apprendre à sortir

et à faire que le reste est en cendres ;

un amour à vivre.

Pour toujours, fred 14 mai 2007

J’ai trouvé une sirène dans un filet dérivant, parfois je sais qu’elle veut s’en échapper, mais moi, je veux simplement la ramener sur mon rafiot tout pourri qui avance encore.

Je veux entendre son chant réconfortant et empli de connaissances de cet océan aux multiples rencontres si particulières de la vie.

Je veux savoir. Elle sait.

Elle ne doit pas mourir dans ce filet.

Je veux vivre. Elle sait.

Que je ne suis pas loin…

Nous, les autres et les idéaux

Sur cette terre si lente et si précieuse, si apte à créer,

à développer toute chose qu’elle avait assemblée avec parfois de la malice proche des petites perversions humaines. Il faut dire que nous sommes une de ses créations hasardeuses ou non.

Et sur cette planète, sur une portion, au-dessus de la terre géologique, sur du bitume façonné ici et là pour cacher notre saleté par une hypocrite propreté, en avançant vers mon vice destructeur psychiquement, autant mais moins, physiquement, j’ouvris une porte qui allait faire accomplir l’histoire de tout les histoires connues et provoquées par cette terre si malicieuse.

Dans des volutes absurdes de tabac et d’éthanol, là où les hommes et les femmes cherchent un oubli et une explication à leur cadence de vie, une simple question va faire changer le cours non naturel de ma vie : ouvrant une voie que je redoutais depuis tant de temps.

À la recherche du passé de la flèche du temps, mon propre mien était devenu si futile, volontairement pour ne pas perturber le cours de mon esprit à peine stable chimiquement, abreuvés des risques des conséquences éthyliques.

Par la suite, dans l’euphorie, j’ai accentué la destruction par sacrifice, ou une libération : un influx de sérotonine et de dopamine suffisant pour l’autarcie mentale. Devenu une expérience dangereuse qui sert à quelque chose d’évident, décidé dans les entrailles de la terre : l’amour de Sandrine.

Des froideurs

des regards et des dire orgueilleux

il y a ton amour pour moi

et surtout

de réussir l’histoire

avec un homme

qui est tout dans la recherche du bonheur

de son bonheur

de ton bonheur

de notre bonheur… belle histoire ! ?

Une bière, des bières

une engueulade

et puis un dimanche de sudoku

des coups de téléphone, des contacts

des rencontres, une bière, un verre de vin

des bières, des bouteilles qui s’entassent

et puis, un dimanche, un Scrabble

des chantages, des taquineries, et le trop-plein

une engueulade

et puis un dimanche, des jeux vidéo

une bière, une bouteille de vin

des bons petits plats, du bricolage

des amertumes, des sentiments aigris

et puis un dimanche, les guignols de l’info

des émissions de radio, des journaux

une bière, des bouteilles qui s’amoncellent dans les sacs

une engueulade par méchanceté, de mauvaise foi

et puis un dimanche ennuyeux

c’est la vie, c’est la vie…

de qui ? On se le demande

mais sous l’air de rien, il y a à écrire

la preuve, c’est leur vie, la vie

de qui ? Tout à chacun

c’est la vie et beaucoup d’amour.(Et de haine.).

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