Mémoire

 

 

Ma mémoire est un millefeuille compilé d’où s’échappe les quelques mots que j’ai noté l’intérieur du livre, la date dans un coin au dos d’une photo, le vin extrait d’une poésie récitée, une collection morcelée, incomplète

 

une partie

de mon enfance

 

des échantillons de presque riens

 

fractionner le temps et répéter ces certitudes et mes incertitudes

elle n’est + que fragment,

l’effacement de l’intonation de sa voix, un sourire, un passage.

 

 

L’instruction n’est que une grande librairie, ou une bibliothèque ou l’accès est réservé à l’éclectisme, et n’est pas donné à la concentration. La dispersion de nos ondes personnelles de pouvoir intérieur, la perte et l’incertitude des résultats obtenus du travail de la mémoire et de nos méthodes spirituelles, est un fait de notre histoire quelque soit la société et son ordre.

En ce sens, établir les relations entre deux œuvres imaginaires et techniques est le défi que l’humanité se doit d’affronter pour que l’éducation fonctionnelle de l’école devienne inutile au regard de la magnitude curieuse, lien et liant nouveau des raisons communicatives, car le cheminement de nos ondes, aujourd’hui ; se signifie en hyperlien, parfois dynamique. Il faut insister sur la véracité des concentrations mêmes abjectes, surtout ne rien épurer pour ne pas disperser.

Ainsi, ce que nous ressentons de si démocratiques à l’intérieur d’une bibliothèque, doit s’hyperlier, s’étalant, se liant à des talents et, au contraire la dispersion, fait que la société prenne l’instruction concentrée comme comme son histoire en marche : les ondes de chacun, personnelles, graviront les mêmes marches que Confucius et celles

 

« À quoi sert l’intelligence qui se sert elle-même »

 

Toujours oublier et vivre dans l’angoisse la plus terrible, celle qui peut vous faire basculer dans la réalité d’un autre.

La personne peut tout essayer, la vie n’étant qu’un concept. La mort un discours autour de cette idée. Tant de philosophes, aveuglés par la vie et ses prolongements, ont tourné autour d’une illusion principale : la vie n’est pas et la sagesse prend son sens dans l’inconnu.

 

Rien ne vaut les illusions pour les hommes. La vérité, terme de recherche des esthètes, ne sert qu’à accroître les pensées inutiles de notre espèce.

Vivons curieux mais sans les histoires et raisons de nos prédécesseurs.

La peur d’être inutile à l’extrême ; la mort nous encourage à tricher davantage avec notre cerveau.

Le sonder jusqu’à la peur de ne plus être soi est la vraie consécration de notre esprit : mourir et vivre ou les deux, et plus loin oublier les concepts chimiques de notre système pour accoucher d’une humanité nouvelle.

La vérité nous a intégré. La réalité n’est qu’illusion.

Bienvenue dans un monde virtuel où les autres choses se moquent de nous pour le reste du temps.

 

 

Rencontrer ou voir des gens ? Pourquoi ? Ça ne m’intéresse pas mais c’est une obligation.

 

 

 

Le problème n’est pas une hypothèse. L’alcool aide à faire découvrir le problème. Le problème n’est pas vrai. La réalité me le rappelle. Le problème semble être d’aujourd’hui, mais évidemment plus profond, bien ancré dans les limbes, nimbes de l’inconscient, il se distord dans le temps et me ne demande isoler à se raccorder aux autres problèmes plus authentiques. Dans cette fissure s’engouffre les mauvaises solutions sous forme de crises. Parce que le problème ne se définit pas tout seul, il est une interrogation qui prend un complément de…

 

 

 

 

 

Ma Petite Sabrina

ne crois pas à mon oubli de ton oubli de toi-même

l’étincelle existe en toi pour le rêve, par le rêve.

Donc tout est possible pour toi.

 

 

 

Le cerveau fonctionne

holographique

 

1 bradyons moins vite que la lumière notre univers

 

2 luxons  vitesse 1 constante de la lumière

 

3 tachyons particules hypothétiques d’une vitesse toujours supérieure à la lumière

 vie ou mort

 

la conscience dans des tachyons par un défaut de filtre de leur cerveau accède à l’univers supra lumineux

cortex

 

 

 

Je suis une chose qui dématérialise, et divise

le résultat d’informations grossières pour en faire une certitude tellement différente

et éloigné de sa source que je crois avoir une âme, une peur de la mort, ignorant la totalité de mes divisions.

Puisque je ne peux pas ressentir la vibration d’un neurone au même titre qu’un rêve « divin » compliqué, ou une flamme brûlante ou la compréhension de la chaleur, alors je ne suis pas limité mais je suis une chose récursif.

 

 

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