Rejet
Je t’aime
car
dans la peur du conflit
dans le rejet de l’autre
en colère
qui se défendait contre
des sarcasmes
Il a trop vu de films au magnétoscope. Au cinéma, le tarif était trop cher, pourtant il avait de quoi payer l’EDF, alors pourquoi faut-il toujours voir le film lumière éteinte. Ne riez pas. Ce n’est pas une blague. C’est un silence perturbé. Si vous ne riez pas, sachez vous, que son histoire est bien plus triste et sans être volontaire, le silence ne naît pas du bruit mais l’inverse, et cela s’est toujours pas fondé, scientifiquement, n’est-ce pas. En restant la, il parvenait à entendre, correctement, c’est-à-dire en retenant le principal afin d’être sociable mais la plupart du temps il perdait son temps à ne pas retenir le vrai les choses. Tout lui paraissait futile, chimérique et banale. L’étrange n’existe pas pour lui ou alors il est ensemble, tout autour de lui, comme si, lui, comme les autres, se trouvait être le centre d’une grande banalité où il était le piment sans le pigment. Il ne construit pas se laisse , critiquer , non pas reprocher mais s’il le ressent dès qu’il est lui-même, c’est-à-dire vous. Vous, à l’essayage social et psychologique, voire pire, du bonheur de radio des radios, télévision, magnétoscope et société multi créatrice (à ne pas confondre avec la sincérité). Se battre financièrement pour le bonheur, se battre pour accéder à être heureux, simplement, directement, sans passer par la case départ, quelle banalité de vouloir le bonheur, et s’entre-tuer et de tuer au passage, surtout quand on est un être pensant, auquel rien n’est sûr que l’on soit multi raciste et monstrueusement intelligent et, et, et, divinement humain. Dieu existe pour et par invention, en réalité, cela en est pas moins
Je commence enfin à aimer la vie et les êtres vivants
je commence enfin à me calmer.
Je commence à projeter à faire des projets
je commence à trouver les moyens de rêver de construire pour cristalliser dans la réalité ce rêve
agir pour la terre qu’elle redevienne propice à tous les êtres vivants et non vivants.
Et cela doit être fini !!!
Norbert Verdier
« Qu’est ce que les mathématiques » 4à4- le Pommier
Je me promenais
la,
encore, la
je restais
pour rien, pour tout
tout étant la.
Faire de la peinture. RePrendre confiance en soi ne plus boire en excès. Se débarrasser de cachets.
Faire de la programmation. Se calmer intérieurement. La vie est très utile. Apprendre à aimer la vie et les autres. Rencontrer écouter et parler avec intérêt pour l’autre. Ne pas rejeter
Je vis mal mes frustrations du à l’absorption de psychotropes d’origine médicamenteuse ou éthylique
le souvenir de mes pétages de plomb, de mes crises borderline. Et puis les risques de rixes, mes comportements chiants et asociales, m’ont fait perdre un nombre certain de copains, de possibilités d’amis. Et je dois tout assumer. Et Il y a les violences subies comme par auto flagellation ou autodestruction.
Enfin ma mère possessive, instable, dispersée et un peu asociale malgré tout ses efforts pour occuper un vide,
Si je ne fais rien ce que j’ai toujours eu l’impression que tout ce ne sera jamais reconnu. Et puis l’handicap relationnel face aux autres me pousse à la solitude et l’isolement. Pour ne jamais rien regretter.
l’affect ne dure pas. La passion aussi. Les couples ne durent pas s’il s’accroche à leurs sentiments communs qu’ qui est l’amour. Il faut autre chose. Certainement que le réseau social, relationnel de l’un ou de l’autre permet la subsistance du couple. Mais Si l’un des deux ne plonge pas dans ce rapport alors la fin est certaine.
Ne jamais s’énerver. Rester aigri, taciturne. Rien de bon rien n’est bon dans tout cela. La solitude et est la condamnation des excès, de l’inadaptation aux autres. De la peur et de la haine. Il faut pour des raisons du privilège de la solitude tranquille, rester calme et pour cela écœuré et aigri.
« L’amitié ou la prostitution fraternelle » Charles Baudelaire
La solitude est et le secret de la meilleure écologie et de la rédemption laïque.
J’ai besoin de rien sauf de l’alcool sous forme de bière et de la confiance en soi. Le rire et le bonheur ne me sert pas
je dois finir seul et malade. Je dois écœurer les autres. La mélancolie et ses effets doivent devenir naturels.
L’amitié, l’amour, la reconnaissance, les liens, le copinage, la camaraderie sont les effets de la normalité sociale.
En tant que différents, j’en vomis autour sur moi que sur la normalité.
Je n’explique pas. Je ne m’explique pas. Je ne t’explique pas. À part l’effet psychotropes de l’alcool. Pourquoi chaque phrase de l’un entraîne une vexation, une frustration chez l’autre ; l’escalade commence jusqu’au rejet sadomasochiste. Mais pourquoi ! ?
Peut-être que l’un veut faire imposer à l’autre ?
Acharné, décharné,
la violence, et les ruades sont inhibées
mais sans vapeur éthylique
énervé, nombriliste
l’orgueil se développe et se complique
Enfin, tout cela me rend triste
…
Encore du moi.
Oui, je suis mal et malade de parler que de moi à des psy chiatres qui ont du mal avec moi à trouver la solution à une profonde dépression, qui a créé un être handicapé dans le rapport aux autres et avec ceux qu’il l’aime, et qui aime maladroitement.
Alors comment faire ? Àh, oui faire serait déjà bien, et comme le mieux est l’ennemi du bien, les artistes le sachant très bien, il me faut être bien avec mon esprit et mon cœur pour survivre car c’est de la survie qu’il s’agit, à ce mal mystérieux. Il ne faut surtout pas croire que je suis condamné à ce mal, ce serait la fin de mon histoire, aussi futiles qu’utiles comme tout à chacun.
Alors la seule chose que je sais le mieux faire. : C’est me chercher. Pour trouver les autres. Ce sera long, mon cas paraît parfois désespéré ; il y a tellement d’amour et de frustration qui s’entrechoquent. Et je ne parle même pas des tensions, et autres angoisses insoutenables.
Quant à l’amour et le refus de l’autre. Cette ambiguïté qui me hante, je n’y comprends rien. Et que les autres ne comprennent pas non plus.
Quant à l’être qui m’aime. Cette ambiguïté et cette incompréhension la fait souffrir.
Pourtant j’aime… mais je m’y refuse.
La paranoïa art
Si elle téléphone, c’est pour me dire que son amour est influençable,
que je suis gênant à ses désirs de me voir avec ses amis, ses histoires qui sont parfois, pour moi, incommunicables.
En un mot, les autres lui diront et leur diront à toutes que je suis fragile et que la peur du mot, de me perdre dans la panique des doutes amicaux est une anomalie dangereuse à mon râle.
Et qu’il faut qu’elle m’évite et que le monde auquel je ne suis pas quotidiennement capable de lui parler insouciant m’évitera aussi puisqu’il y a anomalie. Je suis donc, le danger des dernières communications de cette fin de siècle, l’exemple pur de la associable, de l’inhumain fragile, hors du commun mais mortellement humain et amoureux, qui ne peut pas faire mal à une seule mouche.
Ceci renforcé le 28 décembre 1993 et radicalisé le 25 février 1994…
périodique bimensuel jusqu’à ma mort ! Si rien ne change dans mon doute
« pourtant je ne suis pas fou »… « j’en ai assez qu’on ne relance » Wampas
Le pingouin que j’aime
Je vais vous raconter une histoire. L’histoire de cet homme qui, entendant les volontés de chacun, voulut les exaucer. et puis dans l’espoir d’être venimeux découvrit des plaisirs bienfaisants sans intention mauvaise. De façon stupide il donne péjorativement des critiques philosophiques sans valeur. De cette manière il était gentil et non contraignant, voire vulnérable pour lui-même. Ces critiques étaient violentes que pour lui-même, et en ces maux, vivaient des malentendus face à la pauvreté des insultes généralisées, aux comparaisons animales, ou pseudo psychologique, à un langage dénué de tout verbe, acerbe et virulente. Directes, ces phrases ne sont que pour moi-même.
Dans la bouche d’un alcoolique nom cirrhotique, mon alcoolique, bien vivant, coule le vin, la bière et autre Coca-Cola qui parle en gloussant d’une réponse à peine audible de bien faire. Un sentiment d’impuissance et voyant que les gens aimés, détestant, neutre sont toujours la même position que lui, il se laisse abandonner à la vérité d’être au maximum acceptable, sympathique, ou antipathique dans la circonstance. Et entre nous, donner la réponse à la question à vendre : un réveil pour se battre et un four pour manger.
À revoir Revoir
Je suis ce que je suis. Regarder de travers ou pas. Pas regarder ou analyser, la part des choses au milieu d’un vide ; tout en rigolant, et ne pleurant plus son chagrin. Aimer la haine inutile et perdue dans les contrées de l’espoir et de la chance. Trouver ses mots et les perdre en parlant. Être timide ou ne pas l’être. Être une grande gueule n’est pourtant pas l’apogée de sa propre personnalité ; ce n’est pas être. Peut-être sociale, mais peut-être sociale ou non, la question a une réponse en question, en point d’interrogation.
Mon art ne fait qu’un émule, n’est même pas reçu, ne se comprend pas.
Ma reconnaissance affaiblie, ne se redonne pas justement de confiance à son devenir, à mon devenir.
Ma vérité est pourtant toujours là, présent à l’exercice de sa fonction. : Devenir moins que d’être.
Mon silence et mon écrit ne font pas d’enfants.
Ça manque d’énergie et de muscles. Pascal, enjeu de tous les vices et on lui demande pourquoi il fait la gueule.
Je somnole. Je zombielise lize , incapable de répondre correctement à ce sale rythme de l’incommode.
Je perds la mémoire. Je me sens las, sans muscles, sans sans rythme.
J’ai peur des autres, moins que de moi. Un retard sur moi qui m’insupporte. Je me sens piégé, sans force. J’ai peur de l’énervement extérieur car moi je suis je le suis, intérieur. Je suis donc sur la voie de la paranoïa.
Je fatigue. Je patauge et il faut donc que je me ressaisisse.
Communication inachevée sur des problèmes de communication : écouter plus, rire ou sourire, chercher le sens du message, écouté la réponse(si déplaisante, répondre sans intérêts), offrir une proposition sinon tant pis, si oui y réfléchir, réécouter plus etc.…
Si réponse trop dérangeante ou mal exprimée, réécouter plus, reformuler la question simple etc.… « dire que c’est mal formulé »
Je dois me calmer. Ceci n’est pas grave. La solitude n’est pas complète. Il faut réagir et donner & et écouter pour mieux être débile et sympa et social.
Sport, en attendant. Écoute et dialogue simple.
Travail, en attendant calme et simplicité.
Social, en attendant rire et répondre.
De mon appartenance à une quelconque famille me donne un goût de solitude naturelle, de différence éternelle avec d’autres gens.–Même si je sais que la vie de certains y ressemble beaucoup, voire elle est pire.
Justement, le problème, c’est que j’ai les moyens corrects d’avoir une jeunesse, une adolescence enviée, mais ces moyens semblent vides de sens car ils apprennent l’isolement. Parfois le sentiment que l’isolement mystique et familial de ma mère a été transmis.
Je me sens obligé de me forger re forger, ou de me forger tout court autour de ça : l’isolement familial et intellectuel est une partie obligatoire de ma personnalité de solitaire.
Si ce n’est pas vrai, c’est en tout cas une protection contre les douleurs autour de la solitude, et des rejets légitimes qui peuvent faire souffrir. Une protection ou la mélancolie, la réflexion, la curiosité intellectuelle est un pilier de ma personnalité et de ses armes.
Chercher à être autre chose semblent peines perdus.
Grâce certes pour l’instant à un antidépresseur.
Le mois de mars 2003 semble être le tournant du match. Point Finale.
Je n’ai pas d’amis. Je ne pleure plus. Je suis là et j’attends mon heur de mourir. Je me laisse vivre pour voir la mort de près. Je prends le risque inutile de rater ma vie. Sans amis, seul, assumant cette mélancolie, cette dégradation, ça n’affecte ainsi que moi. 1000 excuses pour un comportement aux qualificatifs tellement négatifs. Je me les suis donnés seuls contre tous. Je les renie puis me les réapproprie. Je ne me respecte pas, je ne m’aime pas et je ne peux pas aimer les autres. J’ai le juste retour de tout cela.
Ignoré comme si j’étais déjà mort.
C’est pour cela qu’il faut construire des cathédrales, des mythes, des rêves,
des colosses, des œuvres, parfois des chefs-d’œuvre.
Et même sans amis ou même avec des amours, avec du génie ou sans talents, c’est comme ça qu’on s’élève de toute manière, qu’on se lève tous les jours de la vie pour des raisons inconnues pour être reconnu avant d’être… ignoré comme si on était déjà mort.
XVIII ce que chacun désire
éviter les querelles
dissiper les rancunes
stimuler les bonnes volontés
inciter votre auditeur à vous écouter attentivement
« je comprends très bien votre attitude, si j’étais vous j’aurais probablement la même »
18 accueilli avec sympathie les idées et les désirs des autres
que ses malheurs soient vrais ou imaginaires, l’homme se complaît dans la pitié de soi-même
XIX un appel apprécient de tous
deux raisons d’agir :
1 un « qui fait bien »,
2 la vérité ? ? ?
1 idéaliste
2 réalité
19 faites appel aux sentiments élevés
La haine
Le désespoir, l’envie nauséabonde.
l’Inutile vision de mes espoirs.
Toi et les autres m’ont calmé et renvoyé à une mauvaise valeur.
Compris mais mal jugé.
Ne comprenant pas et jugeant à la perfection.
Sonner par des certitudes, je ne suis pas aimé ni même apprécier pour le peu de mes cadeaux, mes offres et mes écoutes.
Mon humour affreux en apparence ne supporte pas le silence des autres.
Aucun rire et l’orgueil rougit, amplifie la tristesse et l’angoisse par sous-entendu, par moquerie.
Au travers, une humiliation s’appuie sur sur des préjugés.
Pour toujours, un nihiliste t’a aimé.
Aucun avantage à part la patience et la véracité de la vie lui répond avec sincérité et ne peut tricher avec lui. Je la connais tellement bien il l’a connaît tellement bien.
Et Je connais tellement mal l’ironie et la tricherie des hommes.
Tranx is toxique, is a toxine.
L’amitié pour moi est inutile et impossible
la camaraderie est le seul devoir auquel
les rencontres sociales, voire amicales.
Mais comment cristalliser ces rencontres ?.
J’aime donc la solitude à peine ayant rencontré
je suis aux antipodes des heureuses rencontres intellectuelles et lucides.
Et des possibilités de bonheur artificiel sans parano, avec charisme et de personnalité affirmée.
Vraiment, pas de chance !
Patience, quelle horreur !
Ne pas trop penser, c’est construire une vérité sociale ; ne pas trop croire, c’est éviter la dépression.
Demain, on verra.
Assumer le procès :
perdre la phobie sociale :
dépasser sa peur du monde et des autres
Payer hlm ou Trésor public
échéancier h2o et EDF
sauver chéquier (retrouver resuivre de 80 €), voir Banque de France
sport : courir+ ? Aïkido, karaté
travail
algo + math
AA= contre l’alcool
les témoins : mieux comprendre mieux connaître
quitter Lorient : Angleterre, Irlande, Bretagne(pas Lorient)
payer le Galways
Il y a dans les sourires un visage qui change tous les jours. Tous les visages ont un rictus, un soupir de soulagement face à la contraction spasmodique du cœur qui s’exprime en un seul influx sanguin dans les muscles hilariques des lèvres et des oreilles. Il ne voulait plus les voir ces sourires qui lui faisaient horreur… une concentration d’hypocrisie. Détournant le regard, mal à l’aise de devoir de décrire dans ses pensées, les raisons cachées des différents sourires. Il ne permettait plus le bonheur des autres, en égoïste, certes mais aussi par sécurité maladive. Il devint malade et du mourir sans pleurer, sans rire. Sans pleurer, c’était aussi un rire, pire ; une lâcheté aux côtés de l’hypocrisie du rictus le plus marrant qui y soit. Chez lui, ça n’était pas communicatif mais répulsif, et répressif. Destination froideur, statufié, il mourut, sans visage.
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