Idéal

ceci sera écrit. Dans une dualité, vous ne choisissez pas le chemin car vous êtes dans le doute. Au sein de la croyance divine qui se nomme qu’Un, vous croyez et vous êtes dans la dualité ; entre vous et moi, ou vous et Dieu, il n’y a pas d’autres dualité. Choisissez votre vie car n’appartient pas à Dieu. Si il vous la reprend, sachez que donner, c’est donner, reprendre, c’est volé.

Au sein de ma mère, j’ai tout pris et tout appris, et ici, je donne ce que ma mère a bien pu donner, un ressac de logique, de concepts, d’intelligence et de philosophie en méli-mélo.

Si je n’étais pas capable de saisir les données, alors, je suis un bug de l’histoire comme tant d’autres, car nous sommes beaucoup. Trop. Mais juste assez pour mourir. Mon infériorité veut y répondre. Et La supériorité est partout, je la recherche pendant longtemps, je ne saisis toujours pas les données. Ainsi, le bécarres qui annule tout, l’inférieur, le supérieur , pour donner la vie, c’est la mère que l’on veut personnellement, et que l’on va, par espoir, continuer à procréer, développé. Si ça n’est pas possible, ce n’est pas grave, la dualité est personnelle et pour ma part… une ressource.… Ma valeur, entre vérités et réalités, entre curiosité et réflexion positive, c’est le bécard de ma dualité. L’équilibre d’une intelligence par mon physique. Tout survit. Je survivrai, tu survivras, il survivra…

Quatre

IV

l’État de dénominateur de moi-même… seul comme vous… en contrôlant vos certitudes, les laissant se mentir à elle-même. Je vous accuse et j’applique votre certitude en mettant vos acquis en enchère, lesquels vous ne savez à peine penser, développer… car vous êtes réduits aussi par dépendance, volontairement. Votre sens de l’analyse, du respect du savoir, de votre capacité d’entendement sont atrophiés… j’accuse de faire subir votre acquis à notre volonté de sublimer vos théories, vos applications.

À notre monde encyclopédique auxquels votre participation me désespère, je vous remercie à contre-courant d’exécuter avec grâce et perspicacité… sans erreur ! En tendant vers le zéro défaut, l’absence d’originalité qui fait de vous des êtres à part, et inutiles pour l’utile. De façon si catégorique, le père fondateur de toute création, compilation, et transmission du savoir, vous rappelle que « la nature n’a fait ni Dieu ni maître. Je ne veux ni donner, ni recevoir de lois ! »

[Je participerai pour vous, à contretemps]

L’équilibre n’est pas un droit ni un devoir. Il est incertain, sa vocation est de mettre les extrêmes dans leurs propres limites. Revendiquer et imposer n’ont pas trouvé leur juste milieu. Être juste est vrai ou faux ou les deux ? ! Le zéro est toujours faux sauf pour égaler…

Devoir de l’argent. Avoir faim. Être malade. Drogué ou alcoolique. Sujet ou esclave. Ma penser ou pensée maladroite. Et si rien n’était sérieux ou si tout était une farce. La vérité n’a peut-être pas de réponse !

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