Animalité
Il existe des êtres aux personnalités si diverses que le monde étant si ronde et uniforme ne peut pas abriter la totalité des réactions qui en découlent. Alors que faire pour trouver le respect des autres choses qui nous entourent ? Comment ne pas avoir peur quand la sensibilité permet de comprendre tout ceci. Réponse la réponse réside pour moi dans l’acceptation, non pas dans notre capacité à raisonner, à prendre conscience, à innover dans des projets techniques ou des concepts toujours plus élaborés, ni même à comprendre l’univers et la terre ou encore l’esprit humain, mais de se souvenir de notre animalité,, de cet instinct oublié par la calotte grisâtre de nos hémisphères cérébraux, ; se dire que le cerveau reptilien avec ses glandes de subsistance, de reproduction, de plaisir qui y résident doive rester à l’esprit.
Nous sommes des prédateurs hypers adaptés et non pas de gentils humanistes écologistes avec une bonne conscience, de bonne morale, de bonnes règles…
ne pas oublier cela, c’est se protéger des excès, et des envies d’enfreindre les règles que la nature a mis du temps à installer sur Terre.
En résumé pour garder la terre sans la chambouler, c’est ne pas être écologiste mais bien au contraire devenir des animaux prédateurs gardien de notre territoire qui est un globe bleu, blanc, vert et terre de sienne, ocre.
Aujourd’hui, c’est l’adaptation au plus facile. La difficulté et le défi sont considérés comme un risque pour la société et un danger pour les concitoyens. Je reviens à la normalité : l’aspect brave et volontaire de chacun.
Mais si y forcé, même si c’est aimer l’amour en bout de chou ou en les yeux doux, c’est de la volonté de vouloir se contredire sur ses idées face à l’être aimé… bref, la rencontre de la liberté et de la normalité toujours imposée. Serions-nous sujets à la déviance de la société par la liberté.
Un cercle vicieux serait une névrose qui prend le large et une psychose qui s’oublie et, pendant ce temps-là… la normalité nous entraînerait vers une cynique fin de notre instinct… l’oubli de l’autre instinct. Un animal dort, nous voyons un animal pas le sommeil. Et ses rêves, son acte de dormir.
Je suis tranquille. Saoul et seul, mais trentenaire et tranquille. Sans ma femme et ses enfants qu’elle n’aura pas. Sans mes enfants et leur mère qu’ils n’auront pas. Sans la ma famille et leurs ascendants qu’ils n’ont pas.
Je suis tranquille. À ce point, que personne ne m’envie.
Ma mère me rend fou. Et la folie ne me trahit pas.
Pareil à un volcan, il ne sert à rien de pisser dessus pour l’éteindre.
Pareil aux hommes qui s’y installent dans la vallée pendant son sommeil.
Moi, je l’écoute mais ne veux plus l’entendre et cherche la liberté.
À l’heure qu’il est, que peut-on dire des australopithèques ne connaissant rien de nos voyages en charter ou en Airbus. Les Papous les amazoniens et les pygmées non plus, ne sauront peut-être jamais notre facilité à aller visiter et parfois occuper leur « paradis » exotique. Tout ceci étant évidemment réciproque puisque nous refusons de les accepter comme des êtres humains.
Au fond, un humain se doit d’être surtout industriel et porteur des idées d’idées métaphysiques et sociales, sans quoi il est un animal ressemblant à l’homme ; plus proche du singe du cousin humain.
Que c’est beau, la psychologie de l’exotisme ! ?
Idée numéro un :
quand la métaphysique deviendra la physique de la métaphysique c’est-à-dire d’elle-même, c’est que l’espèce qui aura succédé à l’espèce humaine, se sera développé. La question est : cette espèce sera-t-elle aura-t-elle émergé de l’humain ou d’une autre espèce ?
Entre les affirmations et les doutes, existe un no man’s land où vont les crimes, et les victimes… les criminels contre toutes les rumeurs et calembours ne retournant pas sur le lieu du crime, et fuient vers leur protecteur : le corrupteur de la justice et surtout de sa propre publicité.
Derrière, et devant les faits, il y a encore des faits.
Voilà, c’est fini, les 10 ans derniers ont eu souvent un goût amer, parfois heureux et jouissif, mais je suis impatient de voir fuir de belles choses, des gens que j’ai laissés s’écarter m’oublier. Enfin, je l’ai provoqué, je dois l’assumer. Mais j’aurais pu être entouré par ces mammifères prédateurs doués de conscience, bref ceux de mon espèce, moi je me sens entouré par toutes les autres espèces, car avec la mienne je me sens si mal, très peu sur la conscience des miens de savoirs qui ils sont entourés par les autres espèces, par les autres vies. Bizarre, ma trentaine a un goût amer comme la bière.
Tuer ses parents comme si on devait les considérer parfois comme des dictateurs ; inavouable projet qui gît au fond de nos cœurs.
Si je n’ose proclamer seul à ce constat d’échec de la vie sur notre esprit, c’est la vie elle-même, rythmant notre cœur, essayant de lui rendre régularité d’horloge ; inavouable secret physiologique qui gît au fond de nos esprits. Ce cœur nous empêchant de réagir comme animal, à notre point de vue si différent, si déformée ; mutant auto destructif, survivant d’une espèce encore vivante et pour toujours car comme une génération spontanée.… Suite,
nous ressemblons à nos pères, à leurs pensées qui ont mutées ; incroyable histoire d’une dégénérescence qui a façonné, jusqu’à l’oubli de cette évolution, un cerveau, un cerveau poubelle, un cerveau ego, un cerveau contracté comme une une novaé jusqu’à absorber toute lumière, trou noir d’un poids si lourd que notre conscience la mort est le plus beau et le seul résultat possible de notre espèce de mammifères ; indétectable bipède qui soit s’écroule, soit s’élève à nouveau dans les airs à l’aide de ses quatre membres.
Ecrire quoi surtout pas tout
Noircir, encré la belle feuille
Qui se laisse entrainer partout
Elles tombent dans le bonheur
Je ne veux plus aimer. Laisser le crayon
non ! J’essaye d’apprendre nie dieu, ni maître
je préface un combat contre la rime
la, je me bats pour une rime facile
et même si ça ne chante pas, même mal
je revendique ni serviteur, ni maître
encens
Le cerveau : un univers d’événements probabilistes quantiques
Physique quantique :
la matière :
particules
l’ondes
: complémentarité
aux structures ultimes de la matière est non pas déterminé mais strictement probabiliste : au niveau subatomique, les événements sont dans un état indéfini caractérisé par un « paquet d’ondes ».
L’acte de mesure le fixe dans un état spécifique
l’acte de protocole : mise en forme de la réalité
Heisenberg
Cerveau : générateur de potentialités
volonté : direction/ sélection d’État
intéressant en accord les objectifs de personnes
John Eccles(prix Nobel neuro physiologiste)
La conscience permet d’effectuer la réduction du paquet d’ondes à une particule localisée dans l’espace
Eugène Wigner
(Nota bene : délire pseudo scientifique entre la psychologie et la physique quantique. Suivre à revoir)
Irréversibilité
Corrélation
Intrication
Les animaux sont animés. Les insectes inspectent. Le ciel siège et les nuages nagent et pleurent de l’eau de pluie de là-haut. Les hommes omettent les œufs dans l’omelette.… La poule loupe sur l’insecte qui inspecte la pluie. Le bleu azur assure le mime des animaux et mes mots d’hommes fuient… référence 1 figure 1
Autonomie et dépendance. Liberté illusoire ou liberté en parallèle des contraintes naturelles ; qu’est-ce qui nous oblige à vivre dans le désir d’être et de faire pour se différencier de l’autre et de renforcer notre confiance en soi. Tout est possible alors, tout tend vers le projet, même si on ne fait rien là dans nos rêves, se construit dans la prison crânienne une dispersion qui se rassemble dans un projet essentiel et vital ; se situer dans ce monde infini mais plein de lois contraignantes. L’inutilité du utile et l’utilité de l’inutile de Ionesco, parlant de l’acte artistique, n’est pas forcément une boucle sans fin mais regardons de plus près une idée fraîche et pleines d’utopies enfermées dans une syntaxique d’une langue et des mots sortis de leur contexte mêmes les plus tyranniques ont une indépendance la plus totale car utilisable pour toujours. Ainsi, la prison symbole de l’exclusion et de l’inclusion d’une société humaine a été pensée différemment pour ne pas oublier que la prison morale et parfois pire. Mais justement souvent abandonné, Sandrine et Florence tentent de réhabiliter, de rappeler que les lois géométriques peuvent éclairer nos désirs d’ouverture… d’esprit. Grâce à leurs performances la panoptique tenait venait. Voir, à l’extérieur ou à l’intérieur est si libérateur.
Le temps extérieur signifie la personnalité l’identité d’une personne. L’activité ou la non activité est un équilibrage avec l’activité(non) extérieur pour se définir, son identité, se retrouver, trouver retrouver son identité.
Nota bene :
Psychologie psychiatrie philosophie humanité le male et femelle
mike dollinger Monsieur K
les sciences de l’information ont-elles pris le pied sur les sciences humaines
La part de Bonobo en nous peut -t-elle se développer ? Se réveiller ? Doit-elle se développer ?
Raoul sinier
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Enterrer nos jouets vivants : loi numéro quatre
erik reinhardt romancier historien d’art
la morale des anciens : n allait-il pas voir des prostituées ?
Quel est le concept qui sous-tend la rentabilité ?
Avoir les possibilités de se développer ne développe pas l’humilité à la nature, et même pousse à se développer contre elle. Tu réduis ton humilité face à l’autre
Troisième guerre mondiale au Groenland
10 espions : 10 numéros si un espion meurt on reconstitue pas la combinaison
20 bucks
la neutralité du net :
nouvelle donne sur les interactions entre les états et leurs politiques
Les espèces symbiotiques
les espèces non symbiotiques (entre autres humains)
Neuro marketing
Amener le modèle :
dans quel but
pourquoi
Le philosophe sert à quoi si le modèle prime quant aux psychiatres ou psychologues ou psychanalystes son rapport à la philosophie
Robert wright
Uranium <-> pétrole
La terre est bleue mais nous vivons sur des terres émergées, sous la calotte atmosphérique, et en général on croit… jusqu’à croire qu’au bonheur ou en un monde meilleur nous donne un privilège sur les autres (espèces).
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Que L’on dépasse l’entendement ; rien n’est là de lui. Nous sommes dieu, puisque nous détruisons tout. Dieu ou diable, tel est l’homme. Bonne blague ! La vérité est un film et ailleurs, on cherche son scénario, personnel. Nous pouvons du côté religieux, du côté paranoïaque considéré l animal comme incapable d’y croire. Nous pouvons considérer du côté scientifique, du côté de la schizophrénie imaginé l’animal manipulé génétiquement pour parler de Dieu. Nous pouvons du côté de l’artiste, du côté des assistés s’étonner que l’animal soit naturel, sans aucune utilité que pour lui-même. Nous pouvons du côté de Dieu, de l’imaginaire devenu réalité, considéré l animal comme sa possession, sa création fait maison. Du côté de l’animal, la question ne se pose pas, je suis un animal à poils longs, au cerveau rétréci, qui voit et pense ce que je peux avec moins de possibilités d’imaginer, de songer que Dieu, c’est vous. Ma hiérarchie est divine, au-dessus de moi, Dieu me parle comme un rat, un chevreuil, une vache folle, un bœuf rumsteck, un cheval de course, à un lion en cage. À un Animal, vaut deux hommes sur la valeur ajoutée. Rapport binaire du baptême et du voyage dans le désert où l’on croit sincèrement, amoureusement ne croire qu’en Dieu, par ce que l’on ne croit pas les animaux.,,
Pour montrer que le moindre business, légal et illégal, est une aventure où le risque n’existe plus. Argent. Y a-t-il un risque dans le repère ?
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