Je m’efforce je m’y force. Mais la faiblesse est ma force, alors…
hier vivaient des hommes aux scrupules et principes acérés mais ne se laissaient pas aller à des conflits inutiles, sans intérêts ; ils restaient humains. Leur principe les amenait à être raciste donc vengeur par principe. Nos sociétés sont aussi instituées sur des principes qui ils ne faut jamais négliger, avec un certain penchant… vers la mort, le suicide, et l’autodestruction aveugle, sans humanité.
Si le pessimisme vit en moi, c’est depuis l’arrivée de certaines règles qui ne ressemblent pas à mes rêves, alors je combattrai ou du moins hésiterait à voter, à cosigner les sociétés autoproclamées comme vérité, de leur aspect culturel religieux technologique historique économique et surtout philosophique.
Je m’efforce je m’y force. Mais la faiblesse est une force, alors… je me recroqueville dans vers les bras et le cœur de ma petite copine qui est l’emblème de la volonté du quotidien que je connaisse. Plus encore une détermination et un engagement à représenter, à prouver sa qualité. Un parcours normal. « Ça » ressemble à des principes de société : être normal. Être contre la normalité est une mode est aussi un principe d’affirmation. Il y a toujours l’adaptation, mais…
Par cette grande ligne décrite ici, ma langue se délie et veut le goût acerbe d’une bonne dialectique sans prétention politique. Sur les marches du vocabulaire, la fainéantise fréquente la vieillesse des articulations, alors le sommet semble lointain moralement. Au bord des larmes, le précipice est sec grâce aux barrages, au bar et à la rage qui empêche la chute d’un sentiment mais la retient avant le grand saut. Car rien n’est assez fort pour tout retenir, même la fausse joie. La mort de l âme est proche de la vie funèbre et pourrie de nos existences. À ce point précis coexiste le vrai du faux, les pensées directes et les refoulements, le mal et le bien, le contraire du sens et la route des soupirs, le message du silence au bruit de la voix… c’est qui doit être veut vivre dans le très grand paradoxe des mots inutiles, interprété ici et là par des codes littéraires, musicaux, picturaux sans fin. L’insécurité de l’assurance expressive à un seul ennemi l’innocence directe et sans retenue de tout ce qui veut être, est ou sera dans un monde qui se fixe au milieu d’un très grand paradoxe qui lui sert de propre mesure que les hommes ont cru découvrir par leur seule intelligence, mais malgré leur perspicacité et la chance naturelle, qui est aussi un maintien caractéristiques du milieu, être curieux logiquement, sensiblement plus complexe, ils en sont pour leur vie, leur sens, leur intégrité parfois à la nature bienfaisante dans le défait et refait, et leur lucidité… étonné, ils ont vraiment découvert ce qui sort de l’ordinaire, un monde où les codes, les logiques de sens installés par sûreté trop personnelle, n’a pas de paradoxe.
À revoir
Dans un monde qui vit : le nôtre ?
Dans quel monde on vit tous. Belle et bien seul, on continue à aimer à tomber amoureux tout ce qui nous entoure pour affronter la mort dans de bonnes conditions. On veut voir sa vie réussie. Entre la vie et la mort, il y a la solitude : ce n’est pas moi qui vis mais l’autre.
Des horreurs ont été perpétrées mais ont permis à d’autres d’en avoir peur d’y remédier dans leur cœur dans leur tête. D’autres actions utiles sont d’être malsain dans leur vie privée leurs actions sont couronnées de sagesse et de respect d’amour et encore mais encore de réussite humaine.
Ici-bas, Dieu est un être de réussite totale. La science n’est donc pas un dieu elle a beaucoup de choses à apprendre seul homme politique se croit être hors de soupçon hors d’atteinte des critiques des affres du contre-pouvoir des baffes, des bulles .
Trop sûr de lui il se croit Dieu en son fief et la démocratie la démon cratie, se voit la libération du libéralisme ombilical et la vie n’a de sens en ignorant tous les prophètes mauvais ou bon, car la vérité est dans la continuité.
À revoir
2
Le borderline, l’État limite, le branleur, l’ambigu sexuelle, celui qui parle tout le temps, le chiant, celui qui saoule, qui culpabilise, parce qu’il dit la vérité qui saoule et que le sujet pourrait être intéressant mais que je suis chiant, le coupeur de paroles, celui qui n’écoute pas parce qu’il connaît la réponse en substance voir dans la forme, l’écrivain qui n’écrit pas, l’inventeur qui ne bricole pas, inintéressant, le pas de chance, le commentateur de tous, etc.( euh ! Je ne trouve plus)
celui-là il t’aime et trouve que tu as un peu changé depuis que tu vends, qu’il y a quelque chose de bizarre, pas agréable.
Il y a 50 ans, De Gaulle revendiquait que les Algériens et les Arabes étaient des moins que rien, mais la France avait faim.
Monsieur Messieurs
Je vous fais part d’une urgence qui, en résumé, est le résultat d’un complexe socio catastrophique qui a déjà fait son chemin dans divers secteurs.
Il fait preuve que les formations dans les débuts des années 90,1 engouement prévisible pour ce secteur qu’est la publicité, a eu un effet imprévisible. L’emploi a pris ses conséquences. Peu de personnes ont pu s’équiper. La vérité des créatifs s’est envolée.
Et quand, comme pour moi-même, la survie fait partie de l’expérience professionnelle, alors, à côté de nos amis aux bagages plus scolaires ! Et plus appuyer pour leur projet, ma carrière fut instable. Et reconnaissant mes qualités et mon sens critique, mes amis créateurs d’entreprise, ne peuvent s’engager car ma connaissance technique n’est plus sur.
Pao formation art
informatique multimédia exp perso amis pc
Internet exp vente
communication graphique formation art fonction
communication pure exp et for fonction art
secrétariat exp fonction vente
logiciel formation art exp
Dispersion
réseau locaux et amicaux
parfois commercial
Passion curiosité allant vers cette connaissance spécifique
adulé
§1
la vedette et le champion avec ses seuls capacités peut produire de telles réussites jusqu’à l’apothéose la où il n’y avait que de la chance
28
Paragraphe deux
une telle consécration reflète une persévérance, une opiniâtreté, de ce qu’on a reçu à la naissance. Pour d’autres, il faut un succès rapide, être opportuniste. Mais tout cela est imprévisible. Et cela n’a qu’un temps. Et qui ne voudrait pas cette gloire fugace ?
50
Paragraphe trois
ainsi, chacun regarde et la rareté de l’élu, mêlé d’illusion ; chacun rêve d’y être
22
Paragraphe quatre
Il est essentiel qu’une société propose des compensations à nos vies ainsi la plupart se retrouve dans cette identification superficielle et universelle 23
mais cela pousse pareillement à des comportements hystériques, enrichis par l’afflux d’informations média. Ainsi il existe une osmose entre l’adulé et ses rêveurs, tout ceci va de l’imitation jusqu’au drame
38
Paragraphe cinq
évidemment, seul un besoin d’être quelqu’un pousse à la dépendance excessif, pas les actes du héros. Cette réussite qui est une victoire sur les difficultés que la société oppose 29
28
50
22
23
42
29
190 185
Psychologie, psychiatrie,(psychanalyse) ?
Pulsion de mort pragmatisme exagéré non venu d’émotions
pulsion de vie l’intrication des pulsions
Cruauté(matière inanimée + ? Le désir d’arrêter)
traumatisant
sous émotions =
Force du mort revoir ?
Pétrification
pulvérisation
Différence cruauté : anormale : bénéfice intérêt
: Ne pas se placer
absence de vie psychique !
Envie de l’activité psychique de l’autre
rage : sentiment archaïque
perversité : incapacité à se mettre à la place de l’autre représentation ?
Pourquoi détruire
sans rien
Sans savoir
différence : soi moi sans toi sans lui
1 question : cruauté consciente conscient
réponse : ? : Non
sinon : folie
2 question : D ?
Réponse :
dépression supérieure ou égale de moi sur trois : inhibition
traumatisant destruction
supérieure à deux mois
CN : conditions
CQ : conséquences
Dépression traumatisant
CN CQ CN CQ
Revoir
Suite
…
des agoras de Socrate et de Newton.
Disposer de la dispersion du reste ou de l’impression que se donnent l’effet inutiles et éclectique d’une seule œuvre ou d’une seule ligne sera la preuve de notre capacité à reposer les briques solides d’un travail spirituel et de concentration dans la magnitude se mesurera par l’éclair des regards des jeunes esprits, qui, justement, forceront le respect, par l’absence de bornes à la concentration linéaire.
À la mort de nos ecclésiastiques qui voulaient nous nourrir d’éclectisme et d’instructions maladives et dispersées, aujourd’hui donc, et d’ores et déjà sur l’arc circulaire de nos connexions externes et internes, nous pouvons nous recentrer, nous reconcentrer avec valeur dans une œuvre qui sera la nôtre et que personne n’appellera la Bible… même si vous ne croyez pas, vous ne serez pas punis car aucune loi ne sera venue s’interposer, dans votre œuvre, contre votre collaboration : vous êtes libres. Votre pensée se concentre. Votre mémoire est libre et s’appuie sur des hyperliens pour évoluer.
Les mots étudiés ne sont pas des vérités
entendre ces mots font parti de l’histoire,
parfois c’est de l’homme, mais elles sont niées
par les êtres sensibles, véritable êtres naturels
Je me demande
si avec le THC, je perds mes possibilités pour me reconnaître
comme si je n’étais plus moi
et que je pensais à ça pour me rassurer que ce n’est pas la folie, la schizophrénie, la perte de son identité. Que pourtant une fumée de pétard j’ai l’impression que c’est moins violent que l’alcool.
1
« Quelle gloire, au nom de Dieu, à entendre tous ces bruits ; je ne crois plus, je n’y vois pas de grandes choses se dessiner à l’horizon d’un monde artiste. Un artiste, il aurait voulu être, l’autre, la, comme dit la chanson, le comique. À l’horizon, je ne vois que ces gens-là ; je devrais réfléchir que par eux, et leur conneries. Qu’ils critiquent Le Pen pour se donner bon humour, ils savent que dans leur salles, des gens rigolent et votent Le Pen. Riez, votre humoriste prône la haine raciale sans en avoir l’air par ce que au bureau de vote, la démocratie cache les mots. Ce ne sont pas des poètes, mais des dactylographes, et j’irai à dire, des fonctionnaires du télégraphe d’antan. Vos gueules ! Quand les mouettes ont pied, il faut virer de bord. Écartez, vos conneries il y en a marre sur cette terre, vos blagues hypocrites qui vous renflouent les poches, ça me fait dégueuler. Vous faites rire sur Le Pen parce que vous comprenez Le Pen, vous le propagandez, vous faites voter Le Pen ; et si ça se fait, vous votez Le Pen. Moi, je ne comprends pas Le Pen, je ne veux pas comprendre. J’ai plus d’humour, plus d’amour, pour solder votre intelligence.
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